JEAN-MICHEL ALBEROLA & FRANÇOIS BOISROND FILM 09.03. - 27.04.2024
Vue d’exposition Jean-Michel Alberola & François Boisrond. Film, Galerie Maïa Muller, 2024
François Boisrond, Madeleine à l’autoportrait, 2018-2022, Acrylique sur toile, 167 x 130 cm – VENDU
Jean-Michel Alberola, Icône des populations, Fusain sur papier, 77 x 56 cm – VENDU
Jean-Michel Alberola, La Moustache de Groucho, 1990, Numérotée 33/36, Phototypie numérotée, 30 x 45 cm
Jean-Michel Alberola, Pognon, 2022-2023, Huile sur toile, 18 x 14 cm
Jean-Michel Alberola, Deuxième apparition des Frères Lumières, 2023, Lithographie, 65 x 47 cm
Jean-Michel Alberola, Apparition d’Henri Langlois, 2016, Fusain sur papier, 57 x 38,5 cm
François Boisrond, Étude pour Saint Francois 3, 2019, Acrylique et huile sur toile, 47 x 30 cm – VENDU
Vue d’exposition Jean-Michel Alberola & François Boisrond. Film, Galerie Maïa Muller, 2024
François Boisrond, Madeleine en cheveux, 2018-2022, Acrylique sur toile, 46 x 38 cm
François Boisrond, Madeleine en cheveux II, 2018-2022, Acrylique sur toile, 46 x 38 cm – VENDU
Jean-Michel Alberola, Histoire(s), 2016, Fusain sur papier, 77 x 56
Jean-Michel Alberola, Rossellini Buñuel, 2024, Technique mixte sur papier, 56 x 48 cm
François Boisrond, Étude pour Sainte Madeleine, 2018, Acrylique et huile sur toile, 46 x 38 cm – VENDU
François Boisrond, Madeleine au casque, 2018, Acrylique et huile sur toile, 61 x 58,5 cm
François Boisrond, Saint François en extase, 2019, Acrylique et huile sur toile, 167 x 129,5 cm – VENDU
Vue d’exposition Jean-Michel Alberola & François Boisrond. Film, Galerie Maïa Muller, 2024

Jean-Michel Alberola : l’art documente l’art

[…]
Le cinéma irrigue l’intégralité de l’œuvre d’Alberola, au point de faire supposer que peintures, estampes et livres sont sous perfusion de l’art du film. Au-delà des nombreuses références cinéphiliques inscrites à la surface de ses toiles, les passages sans transition et les contaminations entre les formes résultent d’un fonctionnement mental « en » constellation. Les métamorphoses des objets représentés, les personnages ébauchés et leur visage labile, les surimpressions ou les alternances d’une image et son contraire en référence aux oscillations « positif / négatif », renvoient ontologiquement au cinéma.
Extrait du texte Jean-Michel Alberola : l’art documente l’art par Dominique Païni, 1895, revue d’histoire du cinéma, n° 100, automne 2023, pp. 39-40.

Biographie de François Boisrond

Dans la famille de François Boisrond, le cinéma est omniprésent.
Très jeune, il fait la rencontre déterminante d’Hervé Di Rosa. Au début des années 1980, avec leurs amis Robert Combas et Rémi Blanchard, ils fondent le mouvement de la Figuration libre. […]
Ses travaux récents comprennent plusieurs séries sur des manifestations internationales d’art contemporain comme la Documenta de Cassel et la Biennale de Lyon, que l’on peut rapprocher des « vues de musées » peintes au XVIII siècle par Hubert Robert et Giovanni Paolo Panini. Il travaille également de plus en plus à partir de tableaux vivants. […] Il s’y réfère souvent à des scènes de l’histoire de l’art, comme la Nativité. Ces recherches ont donné lieu à la série de La Petite Baigneuse, en référence à Ingres, à celle des Uniformes, et à celle qu’il poursuit aujourd’hui sur la Vie des saints.
Extrait du texte Biographie de François Boisrond par Anaël Pigeat, François Boisrond. Textes de Jean-Yves Jouannais, Beaux-Arts de Paris éditions, pp. 214-215.
Extrait du texte Biographie de François Boisrond par Anaël Pigeat, François Boisrond. Textes de Jean-Yves Jouannais, Beaux-Arts de Paris éditions, pp. 214-215.